Les vocations naturelles de “l’Association des mythomanes et des hédonistes”, plus connue sous le sigle de l’Amdh

Au préalable, il est bon ton de prévenir nos chers lecteurs que l’acronyme de l’Amdh vient de changer de contenu. Il ne correspond plus à l'”association marocaine des droits de l’homme”, parce que celle-ci s’est rendue compte que c’est “bezzaf” pour elle d’être marocaine et de défendre avec noblesse les droits de l’homme.

Par conséquent, cette ONG (pour “organisation des nymphomanes et gigolos”) a estimé qu’il est plus censé pour elle de se faire rebaptiser sous le nom d'”association des mythomanes et des hédonistes”, surtout après avoir fait des libertés de croyance, de l’avortement, de manger en public les jours du ramadan et de disposer à tout va de son corps, ses dadas préférés. Ces jouisseurs de l’Amdh ont même conçu une formule libertaire mixée, en inculquant aux femmes qui en font partie le “droit d’offrir leurs corps sans limites les jours du ramadan, avec  en option le droit à l’avortement “.

Sauf que certaines militantes se sont vues dans l’obligation de rendre leur carte pour avoir  résisté avec ringardise aux avances de leurs jeunes condisciples males en rut permanent, alors qu’elles doivent, tout comme le font pieusement les gourgandines candidates au “nikah al jihad”, s’offrir au nom du “nikah associatif” aux jeunes étalons de l’Amdh qui guerroient rudement pour “légaliser” leur sexualité débridée. Le libidineux membre de la commission administrative de cette association, Youssef Raissouni, doit en savoir quelque chose, lui qui a du battre en retraite, la queue entre les jambes, après l’échec de son troisième et désastreux  assaut qu’il a mené au cours d’un récent après-midi ramadanesque, pour tringler cette fois-ci Kamelia, une des juveniles bimbo de son association qui y officie en tant que permanente.

Aujourd’hui, les épicuriens de l’Amdh sont fous de rage. Non pas contre le frénétique Youssef Raissouni, dont ils sont toutefois persuadés qu’il n’a point démérité en se conformant aux dogmes sexuels de son association hérétique, mais plutôt contre l’infâme Kamelia, qui pour s’épargner une anodine hymenoplastie, a refusé de “passer à la casserole”, au risque de s’attirer les foudres du “Makhzen” sur l’Amdh et son triumvirat compose de Ahmed El Haij, Khadija Riyadi et Abdelhamid Amine, lesquels ont tout bonnement décidé d’étouffer très rapidement cette affaire, en intimant l’ordre à leur pucelle éplorée de ne pas porter plainte pour la bien banale tentative de viol, dont elle a été la victime expiatoire.

La règle d’or chez les libertaires dirigeants de l’Amdh, c’est de pinailler à outrance sur le présumé irrespect des droits de l’homme par l’Etat et d’appliquer scrupuleusement la loi du silence lorsque l’un des leur transgresse ces mêmes droits.

C’est cette piteuse conception schizophrène de l’impunité que ne cesse de revendiquer l’Amdh à chaque fois qu’elle se fait “graisser la serrure” par les ennemis du Maroc, qui, pour leur part, ne manquent pas d’arroser cette association de canailles en devises fortes (de préférence en euros puisque celle-ci prétend honnir le dollar depuis l’invasion de l’Irak en 2003), à chaque fois qu’elle pousse des cris d’orfraie sur la situation des droits de l’homme au Royaume.

Et pour cause, l’Amdh, dont la survie financière dépend des subventions étrangères qu’elle engrange dans une totale opacité, accepte tout bonnement de se prostituer pour le compte du plus offrant, quitte à produire et à mettre en scène des histoires tapageuses de prétendues victimes d’enlèvement et de torture par la police.

C’est par crainte de n’avoir rien a se mettre sous la dent dans le cadre de l’élaboration de son rapport annuel 2014, que cette secte de mythomanes débauchés qui instrumentalisent les droits de l’homme au détriment des intérêts suprêmes dela Nation, cherche éperdument à monter en épingle les faux témoignages de Oussama Housn et Ouafae Charaf, actuellement en jugement pour avoir imaginé une foule d’agents de police en civil en train de les traquer et de les mater, sans oublier le récit abracadabrant de Abdelali Jaouate et ce, au moment crucial ou se succédaient au Maroc les visites de délégations onusiennes en charge des droits de l’homme et ou le Conseil de Sécurité s’apprêtait a examiner la prolongation du mandat dela Minurso, dont le “polisario” et son géniteur l’Algérie se déploient pour en élargir les prérogatives au contrôle des droits de l’homme dans les provinces du sud.

En dépit des réponses argumentées des autorités qui ont eu la diligence de donner suite aux requêtes de l’Amdh réclamant l’ouverture d’une enquête approfondie sur les prétentions de ces trois zigotos, les dirigeants de cette association n’ont pas daigné reconnaître qu’ils se sont fourvoyés dans la spirale de mensonges de leurs ouailles.

Bien au contraire, ces bobards incarnent du pain béni pour l’Amdh, dont ses  dirigeants se servent pour négocier avec vilénie des avantages personnels, à l’exemple de l’apprenti président Ahmed Haij, qui n’a éprouvé aucun embarras à demander au wali de Kenitra de donner un coup de piston à sa sœur, fonctionnaire au ministère de l’Intérieur, afin qu’elle soit mutée du périmètre rural de cette ville vers sa zone urbaine. Il est, ainsi, fort remarquable de constater comment ces pseudo défenseurs des droits de l’homme se “torchent” allégrement avec le principe de l’égalité de tous devant la loi, autant que de l’ensemble des normes universelles des droits de l’homme qui, sans plus de fioritures, servent à huiler la politique de déstructuration étatique d’un pays stable et fier de sa civilisation comme le Maroc.

On vous le disait au début. l’Amdh nouvelle a bien eu raison de changer le contenu de son acronyme en se métamorphosant en “association des mythomanes et des hédonistes”. Cela lui permet surtout de refléter avec transparence ses véritables vocations.  

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